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Michel Godet livre ses « bonnes nouvelles »
En ouverture de la convention Patrimonia, Michel Godet a défendu les multiples initiatives des entrepreneurs de terrain, après avoir une nouvelle fois pointé les errements des dirigeants.

La première conférence plénière de Patrimonia, ce jeudi 26 septembre, a fait salle comble. Pendant près d’une heure, les congressistes ont écouté avec attention l’intervention de Michel Godet. Et souvent ri aux nombreuses digressions de celui qui n’hésite pas à comparer la fécondité des baleines à celle des Italiens, pour mieux vilipender les écologistes extrémistes. Alliant bons mots et statistiques internationales, le célèbre professeur au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) a, comme à son habitude, dressé un tableau sans concession de notre pays, au regard de sa dette, de ses déficits, de sa réforme minimale des régimes de retraite ou encore de l’échec de sa politique éducative, avec «20% de jeunes qui ne savent ni lire, ni écrire».
Pas de boucs émissaires
Et pour Michel Godet, il «faut arrêter de chercher des boucs émissaires», car la contrainte de la mondialisation «pèse pour tout le monde», et notamment nos voisins qui s’en sortent beaucoup mieux. Que ce soit l’Allemagne, bien évidement, et son taux de chômage de 5% ou encore, moins souvent citée, la Suisse qui affiche de bons résultats sur l’innovation industrielle.
Vive la France d'en bas
Pour autant, Michel Godet avait aussi des bonnes nouvelles à annoncer. «Il y a des choses qui marchent dans la France d’en bas», s’est-il exclamé. Et de citer pêle-mêle la bonne gestion de Chartres, où les impôts baissent depuis dix ans, la renaissance du village de Saint-Bonnet le Froid, en Auvergne, le succès du piment d’Espelette ou encore les réussites en matière d’insertion de Pierre Choux en Côte d'Or. Reste à ce que ces success stories remontent au niveau de nos gouvernants, que les bonnes idées de ces entrepreneurs de terrain brisent «l’impuissance jacobine».
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