Une assurance emprunteur plus rapide à souscrire

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Systématiquement demandée par les banques en complément d’un prêt immobilier, l’assurance emprunteur peut s’avérer parfois complexe en termes de formalités de souscription. Essentielle car elle couvre des risques lourds (invalidité, décès) elle peut représenter jusqu’à 40 % du coût d’un emprunt*. Directrice Produits de MetLife France et Royaume-Uni, Agnès Bruhat est convaincue que ces garanties doivent être plus simples à souscrire, et les éventuelles surprimes liées à des risques de santé ajustées au plus proche des risques réels que présentent les  individus. Elle explique pourquoi.

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Une assurance emprunteur plus rapide à souscrire
Après des mois de recherche, votre client a trouvé la maison de ses rêves ? Pas question pour lui de la laisser filer parce qu’il ne parvient pas à boucler son prêt immobilier. « Dans le contexte actuel de taux bas, la marge de négociation des emprunteurs est très limitée sur le prêt lui-même », observe Agnès Bruhat, directrice Produits de MetLife France et Royaume Uni. « En revanche, le coût de l’assurance emprunteur doit être examiné de près. »
Des risques lourds
L’assurance emprunteur demandée en complément de tout prêt immobilier « peut représenter jusqu’à 40 % du coût du crédit* », insiste Agnès Bruhat. « Elle ne doit donc pas être souscrite à la légère. » Parce qu’elle coûte cher, bien sûr. Mais aussi et surtout parce qu’elle protège l’emprunteur contre des risques lourds tels que l’invalidité et le décès.
Comme toutes les garanties de prévoyance, l’assurance emprunteur nécessite souvent de remplir un certain nombre de formalités administratives, médicales et financières. « Il nous a semblé essentiel de les simplifier pour rendre le parcours de souscription plus rapide et plus facile à vivre », explique Agnès Bruhat. Sur des marchés immobiliers tendus, les acquéreurs doivent pouvoir signer rapidement une promesse de vente sans courir le risque de se voir refuser leur prêt. Or, l’obtention du prêt est conditionnée par l’acceptation du dossier d’assurance.
Vite et bien couvert
Il faut être un véritable expert de la prévoyance individuelle pour oser simplifier ces garanties de long terme, engageant des capitaux qui peuvent être importants. « Grâce à notre expertise nous avons pu supprimer certaines formalités médicales et financières, ce qui permet aux assurés de gagner du temps mais aussi d’éviter des examens médicaux parfois anxiogènes », commente Agnès Bruhat. Ainsi, un simple questionnaire de santé suffit pour couvrir les assurés de moins de 46 ans (ne souffrant pas de pathologie) souscrivant jusqu’à 1,25 million d’euros de capital. Il n’est plus nécessaire d’effectuer systématiquement un examen médical en dessous de 65 ans et de 300 000 € de capitaux couverts. Pour tout emprunt jusqu’à 1 million d’euros, les assurés n’ont plus besoin de faire un électrocardiogramme d’effort, quel que soit leur âge. Quant aux diabétiques de type 2, ils peuvent remplir eux-mêmes leur questionnaire de santé s’ils sont malades depuis moins de 10 ans et empruntent moins de 1,25 million d’euros. Enfin, les femmes sont dispensées de mammographie dès lors qu’elles empruntent moins de 10 millions d’euros.
Côté formalités financières, il n’est plus nécessaire de fournir des justificatifs pour un Rapport Moral et Financier jusqu’à 2,5 millions d’euros.
Au final ces simplifications permettent au client d’aller plus vite et de sécuriser l’obtention de son prêt immobilier, et au courtier d’avoir une gestion plus productive.
Des primes calculées au plus juste
Le coût des assurances de prêt tend à s’élever en même temps que l’âge de l’emprunteur, la gravité des pathologies dont il est atteint et le montant des capitaux empruntés, ou en cas de comportements jugés à risque. « Nous avons veillé à contenir le niveau de surprimes qui s’appliquent alors », explique Agnès Bruhat en citant différents exemples. Les ex-fumeurs sont exonérés de surprime dès 12 mois d’abstinence du tabac, une première sur le marché. Quant aux personnes suivies pour une seule pathologie cardiovasculaire parmi les maladies plus courantes (surpoids, tension, cholestérol…), elles voient leurs surprimes fortement allégées.
« À terme, nous pourrions adapter la tarification de façon encore plus précise en tenant compte du comportement des emprunteurs », prévoit Agnès Bruhat. L’OMS indique en effet que 70 % des décès dans le monde sont causés par des pathologies chroniques telles que le diabète, le cancer, les maladies cardiovasculaires, dont la survenance et la gravité dépendent en partie de facteurs comportementaux tels que le régime alimentaire, l’activité physique, l’usage du tabac, l’exposition au stress, la qualité et la durée du sommeil… « En suivant le comportement des assurés, via des objets connectés par exemple, nous pourrions envisager d’aller encore plus loin dans la simplification des formalités de souscription et l’ajustement des tarifs d’assurance, dans le respect des législations en vigueur bien sûr. »
L’assurance de prêt est souvent à tort gérée comme une annexe de l’emprunt, souscrite sans comparer, au plus pressé ! Les clients vivent souvent mal le stress engendré par son process d’acceptation long et requérant de nombreux examens.
Il existe aujourd’hui des solutions performantes en termes de garanties et de tarifs qui permettent aux acquéreurs d’un bien immobilier de réaliser un projet en plus grande sérénité.
*Source : Direction Produits MetLife
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