Une protection financière contre la « double peine » des maladies graves

Contenu proposé par

partenaire ACE

Les personnes affectées par une maladie grave voient leurs revenus chuter, y compris s’ils ont une bonne complémentaire santé. Pour leur éviter cette « double peine », ACE a créé une protection financière en cas de « coups durs santé ».

Partager
Une protection financière contre la « double peine » des maladies graves

Près de 10 millions de Français seront atteints d’une maladie grave ou d’une affection de longue durée : leur nombre ne cesse de progresser et devrait dépasser les 13 millions en 2025. Il s’agit, dans les trois quarts des cas, de cancers, de maladies cardio-vasculaires, de diabètes sucrés ou d’affections psychiatriques (1).

C’est ainsi que le nombre de personnes atteintes d’un cancer a quasiment doublé en 30 ans. En effet 355 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Cela signifie qu’à l’heure actuelle, 1 homme sur 2 et 1 femme sur 3 seront atteints d’un cancer avant l’âge de 85 ans. Mais ils auront 60 % de chances d’en guérir.

Perte de revenus

Ces maladies ne sont pas seulement des épreuves physiques et morales. Elles ont aussi un impact financier : 60 % des malades du cancer déclarent avoir subi une perte de revenus dans les deux ans suivant le diagnostic (2) : soit parce qu’ils ont perdu ou quitté leur emploi ; soit parce que de nombreux soins et frais de santé ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale, même dans le cadre d’une affection de longue durée (ALD). Ces frais non remboursés s’élèvent, pour un tiers des patients, à plus de 1 000 €.

Protection financière

Pour aider les malades à surmonter ces difficultés financières, ACE a conçu une assurance « Coups durs santé », qui couvre des frais non pris en charge par la Sécurité sociale et les complémentaires santé. « Cette garantie offre une sécurité financière aux malades, explique Éric Chomillier, directeur commercial de l’offre Particuliers. Une somme forfaitaire non imposable leur est versée dès que le diagnostic est posé. »

Ils peuvent utiliser cet argent comme bon leur semble : pour régler leurs dépenses courantes, les dépenses autres que celles prises en charge par leur complémentaire santé, des coûts périphériques et frais de soins supplémentaires. Il peut également les aider à mieux supporter financièrement leurs arrêts de travail ou leur passage à temps partiel.

Un accompagnement personnalisé

En cas de maladie grave ou d’hospitalisation de plus de quatre jours, les assurés bénéficient de services d’accompagnement : ils peuvent être orientés vers un centre médical ou des praticiens de référence. Ils disposent également d’une enveloppe de services comprenant, entre autres, la prise en charge de frais de transport ou de garde d’enfant, des heures d’aide ménagère, et un service d’accompagnement psychologique et d’aide au retour à l’emploi.

Se concentrer sur l’essentiel

Cette couverture peut être souscrite individuellement ou pour l’ensemble de la famille, sur une base volontaire ou en option d’un contrat collectif. « Elle vient en complément des garanties couramment souscrites que sont les complémentaires santé, les assurances vie ou les individuelles accident » commente Christophe Jeanmet, responsable du développement des assurances affinitaires d’ACE. Elle permet aux malades de surmonter leurs difficultés financières et de se concentrer sur l’essentiel : leur santé.

  1. Source : Sécurité sociale.
  2. Étude réalisée en 2013 par la Ligue contre le cancer auprès de 2 153 personnes.
  3. Notamment les soins dits « de confort » (qui limitent les effets secondaires des traitements par chimio- ou radiothérapie), les accessoires (perruques ou prothèses) et les médecines complémentaires.

Sujets associés

À LIRE AUSSI