Valoriser ses actifs documentaires en tant qu’assureur
En aidant ses clients assureurs à exploiter et valoriser le potentiel de leur patrimoine documentaire, MarkLogic simplifie les usages et les accompagne en douceur vers une révolution digitale.
« L’assurance est un métier de papier », résume d’entrée Jérôme Designe, responsable marché Assurances de MarkLogic. Que les archives soient stockées dans des armoires sous forme papier ou digitale, elles sont pour la plupart rescapées de fusions, de changements d’organisations, de départs à la retraite… « Souvent, on se rend compte que nos clients soit ne connaissent pas bien la richesse de leur patrimoine documentaire, soit ils l’occultent du fait de l’impossibilité d’en tirer profit. Des informations sont non exploitées ou perdues, malgré le fait que le document papier tend à céder sa place au numérique. Avec MarkLogic, ils peuvent exploiter l’intégralité du contenu de leurs documents et lier ce contenu à d’autres données pour disposer d’une vue d’ensemble sur un contrat, un client ou un risque. Le document est une source d’informations comme une autre, ou devrait l’être », explique Jérôme Designe.
Dépasser la GED (gestion électronique des documents)
Alors que l’on estime en moyenne que les entreprises travaillent avec 20 % de leurs données, dont la majorité a moins d’un an, l’objectif de MarkLogic est justement de permettre aux assureurs d’utiliser les 80 % de données restantes, stockées dans des documents. « Nous les aidons à exploiter tous leurs documents et ce qu’ils contiennent. Peu d’acteurs de l’assurance utilisent par exemple les rapports d’expert, qui sont pourtant des mines d’informations, notamment pour tarifer, mieux gérer les sinistres ou lutter contre la fraude », estime Jérôme Designe. Et de préciser : « Avec MarkLogic, il est possible de faire des recherches type Google sur tout type de document numérique. La richesse de ces informations, croisées avec d’autres données provenant des systèmes de gestion, peut être exploitée pour optimiser les processus opérationnels d’une compagnie d’assurance. Il s’agit désormais davantage de mettre en place des projets Big Data incluant les documents que de la GED traditionnelle, avec tous les bénéfices que cela comporte : capacité de gérer des centaines de millions de documents et des millions d’utilisateurs, recherches avancées, liens avec d’autres données, analyse sur le contenu, réduction des coûts opérationnels, etc. Nous avons aujourd’hui deux clients en France, un assureur généraliste et une banque, qui ont décidé de remplacer leurs multiples systèmes de GED par la solution MarkLogic. Et d’autres vont suivre ». En intégrant des données internes souvent délaissées ou cloisonnées (conditions générales des contrats, rapports d’experts…), ainsi que des données externes auxquelles est appliqué un coefficient de provenance, de fiabilité et de fraîcheur, la plateforme MarkLogic est capable de croiser et de restituer toutes les informations intéressantes pour l’assureur.
Simplifier les architectures et les usages
« Certains assureurs ont mis parfois plusieurs années à essayer de développer en interne une plateforme unique comme la nôtre pour essayer de disposer d’une vision unifiée des données », confie Jérôme Désigne. Beaucoup d’acteurs du marché ont des systèmes qui datent de 10 à 30 ans, dont les responsables ne sont plus là, et qui n’ont pas laissé de documentation ou de notices pour la maintenance. Sans parler des pertes de données lors des migrations… « Notre objectif : proposer aux assureurs une rénovation en douceur des systèmes comme alternative crédible et éprouvée aux traditionnels projets longs et coûteux de migration tentant de faire passer l’assureur de l’âge de pierre à un environnement “tout digital” pour un retour sur investissement (ROI) pas toujours évident », conclut Jérôme Designe.
En proposant avec sa plateforme une approche médiane, souple, agile, et surtout rapide, MarkLogic révolutionne les usages et la valorisation des données dans leur intégralité.
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