Courtage : quelle relation client demain ?

Quelle est votre vision de la relation client de demain ? Comment les nouvelles technologies, à l’instar de l’intelligence artificielle, peuvent-elles bousculer vos pratiques commerciales ? Ces grandes questions structurantes pour tous les intermédiaires d’assurance, nous les avons posées à six dirigeants de cabinets de courtage implantés sur l’ensemble du territoire. Interrogations auxquelles ils ont accepté de répondre sous la forme de tribunes dans les pages suivantes. Nous avons souhaité sélectionner six visions portées par six décideurs représentatifs de la diversité du courtage généraliste français, que ce soit en termes de taille, de portefeuille (professionnels et particuliers) ou de risques (IARD et assurance de personnes) : celles de Paul-émile Leroy (Union industrielle) à Lyon, de Geoffroy Roederer (cabinet Roederer) à Strasbourg, de Stéphane Lecomte (groupe Ofracar) à Rouen, de Pierre Bessé (Bessé) à Nantes, de Bertrand, Marie-Eva et Nicolas Swaton (groupe Eurosud Swaton) à Marseille, et d’Olivier Grenon-Andrieu et Didier Bujon (groupe Equance) à Montpellier.
Dans ce dossier
- Relation client : "S'enrichir de l'intelligence artificielle, sans en devenir l'otage" (Paul-Émile Leroy, Union Industrielle)
- Relation client : "Une affaire gagnée ou perdue ne dépend plus du seul talent du commercial" (Geoffroy Roederer)
- Relation client : "L'humain fera finalement la différence en B-to-B" (Stéphane Lecomte, Ofracar)
- Relation client : "Je n'imagine pas demain des robots au service de nos clients" (Pierre Bessé)
- Relation client : "Pour les risques plus complexes, l’intelligence artificielle restera un outil au service de l’humain" (Eurosud Swaton)
- Relation client : "Il est probable que le conseiller sera suppléé par la machine" (Cabinet Equance)
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